• Tout a commencé avec mon père.

    Tout a commencé avec mon père.

    Je l’ai vu malade toute mon enfance.
    Pas un rhume, pas un bobo passager.
    Une vraie maladie. Celle qui te grignote à petit feu.

    Chaque matin, je me demandais :

    Est-ce qu’il sera encore là demain ?

    J’étais trop petite pour comprendre.
    Mais assez grande pour sentir la peur, la tristesse, l’impuissance.

  • Puis j’ai grandi. Je suis partie.

    La France. Le pays des superfoods, du bio et des magasins “healthy” à tous les coins de rue.

    Au début, j’étais fascinée.
    Ici, on parle de microbiote, d’alimentation anti-inflammatoire, de santé hormonale…
    Chez nous, à Madagascar, ces mots n’existent même pas.
    La santé, c’est un médicament. Point.

  • Mais plus j’apprenais, plus je comprenais.

    Je cherchais à sauver mon père.
    Sauf qu’il était déjà trop tard pour lui. ( mon regret : je me suis dit peut être que j'aurais pu l'aider à mieux vieillir voir sauver avec mes connaissances actuelles)

    Alors j’ai décidé de sauver ceux que j’aime.
    Ma mère. Ma famille. Mon entourage.
    Et peu à peu, toutes celles et ceux qui vivent comme lui,
    qui subissent leur santé sans comprendre d’où vient leur douleur.

  • Puis je me suis posée une question.

    Petite, j’avais toujours mal au ventre.

    Chez nous, c’était normal.
    Ballonnements, douleurs, gêne après les repas…
    Personne ne posait de questions.

    Je ne suis ni coeliaque, ni allergique.
    Juste une femme qui, avec le temps, a appris à écouter son corps.

  • Ma quête pour mieux manger.

    J’ai cherché des alternatives “saines” partout.

    J’ai enlevé les aliments inflammatoires.
    J’ai testé un peu tout : le sans gluten, le sans lactose, le sans sucre.
    J’ai adopté une vie anti-inflammatoire à 80%.

    Soyons honnêtes : à 100%, on devient chèvre ou écureuil.
    On ne peut pas vivre toute notre vie à manger des noix.
    Et côté gourmandises… rien ne coche vraiment toutes les cases.
    Alors on craque. Et on retombe dans nos maux pour avoir un peu de plaisir.

  • Le déclic est venu avec mon fils.

    Un jour, je lui ai fait des crêpes.

    Je l’ai vu se tenir le ventre.
    Ballonné, gêné.
    Et je me suis dit :

    Le gluten a encore frappé.

    J’en avais marre.
    Parce que oui, c’est pratique et bon, les crêpes.
    Mais à quel prix ?

  • Le souvenir du mokary.

    C’est là que je me suis souvenu de mon gâteau préféré.
    Un genre de pancakes qui a bercé toute mon enfance.
    Les mokary.

    Ces petits moelleux fermentés au riz et coco.
    Ceux qui nous donnaient l’énergie et la satiété pour aller à l’école,
    sans jamais nous alourdir ni nous ballonner.

  • Mais en France… rien. 

    À Madagascar, on en trouve à chaque coin de rue, surtout dans les villes côtières.
    Mais en France, en 8 ans, je ne les avais jamais faits.

    Pourquoi ?

    Parce que la recette est complexe.
    Chez nous, on les achète toujours déjà prêts.
    Ce n’est pas des crêpes : tu prépares, tu fermente, tu cuis…
    Il te faut ton week-end entier si t’es débutante.

  • J’ai cherché quelqu’un qui en vendait ici

    Personne.

    Alors je l’ai fait.
    Ma recette n’était pas parfaite.
    Mais j’ai retrouvé ce réconfort.
    Et un matin… je me suis sentie poussée des mokary.

  • Ma révélation.

    Je devais moderniser le mokary.

    Depuis des siècles, personne n’avait osé s’attaquer à ce produit.
    Alors que c’est le seul moelleux qui coche toutes les cases :

    ✔️ Bon
    ✔️ Digeste
    ✔️ Naturel
    ✔️ Satiétant
    ✔️ Et surtout… il fait du bien.

  • Aujourd’hui, ma mission est claire.

    Il est temps.
    Temps que ce gâteau traverse l’océan.
    Temps qu’il apporte sa douceur, sa force et sa simplicité ici aussi.

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Bienvenue chez Mokariz.

Ici, on ne vend pas juste un gâteau.
👉🏾 On partage un héritage.
👉🏾 On soigne.
👉🏾 Et on régale, vraiment.